Vous êtes vous déjà demandé si votre activité professionnelle vous passionne ? si vous vous sentez épanoui(e) au poste de travail que vous occupez, si le genre de travail que vous faites vous plait réellement ?
Si la réponse est non, vous devez faire quelque chose immédiatement pour améliorer cette situation, car dans le cas contraire, il vous sera difficile d’être heureux(se), ou d’avoir du succès dans votre entreprise.
N’est-ce pas ce que nous voulons tous : être passionné (e), se sentir en harmonie avec notre mission, et obtenir du succès dans ce que nous faisons tous les jours et dans tous les aspects de notre vie. La passion génère beaucoup d’enthousiasme.
Il s’avère que, malheureusement trop peu de gens aujourd’hui osent vivre leur passion, et de leur passion, et ce pour toutes sortes de raisons.
Tout jeunes, on nous a fait croire, bien à tort qu’on ne fait pas ce qu’on veut dans la vie, mais ce que l’on peut, et qu’il faut manger de la vache enragée pour y arriver ! Merci pour ces messages contraignants qui nous ont construits (es).
Ces affligeantes croyances demeurent encore très présentes en nous, consciemment ou inconsciemment et nous enferment dans des comportements, des attitudes, puis des habitudes.
On avance parfois s’en trop réfléchir, on laisse aller la vie, on se dit on verra bien …Bronnie Ware est une infirmière en soins palliatifs en Australie, et elle accompagne les malades en fin de vie.
Elle a établi un « top cinq » des regrets que lui confient ses patients. Parmi ces cinq regrets, voici celui qui vient en tête : « De n’avoir pas eu une vie fidèle à leurs attentes personnelles. Ils regrettent d’avoir mené une vie qui faisait plus plaisir aux autres qu’à eux. »
« C’est le regret le plus commun », confie Bronnie. » Quand les gens réalisent que leur vie est presque finie et qu’ils ont un regard clair de ce qu’ils ont vécu, ils voient que nombre de leurs rêves sont restés vains. La plupart des gens n’ont pas réalisé la moitié de leurs rêves et ils doivent mourir en sachant que c’est à cause des choix qu’ils ont faits ou pas faits ».
Dans la liste des 5 regrets, nous trouvons également celui-ci :
« Regret de ne pas avoir choisi d’être plus heureux « .
« C’est surprenant mais cela revient souvent. Beaucoup ne s’étaient pas rendus compte que le bonheur est un choix. Ils restaient coincés dans leurs vieux schémas et dans leurs vieilles habitudes. La peur du changement fait qu’ils se sont contentés de certaines choses alors qu’au fond, ils aspiraient à rire ou à être à nouveau stupides dans leur vie. »
Pourquoi, me direz-vous, pourquoi, sommes-nous ainsi faits que nous n’agissons pas ?
Et bien, parce que la majorité d’entre nous n’est pas en contact avec ses besoins !! D’ailleurs, très peu de personnes savent qu’elles ont des besoins. Et tout commence là !
Bien sûr il y a différentes sortes de besoins, les premiers sont vitaux, les suivants vont contribuer à notre épanouissement, notre accomplissement personnel.
Voici la hiérarchie des besoins selon Maslow, éminent psychologue américain, considéré comme le père de l’approche humaniste. Ce classement est constitué de 5 niveaux principaux, à lire à partir du bas jusqu’en haut.